• Premièrement, ces bidules permettent la communication facile et discrète, rendant la tâche aux professeurs de les remarquer et de les confisquer plutôt difficile. Une petite caisse allongée de la grosseur d'une main d'enfant, pas tous ne sont capables d'y résister durant les heures de classe. Avec une telle attitude, l'attention de l'adolescent est rarement aux paroles de l'enseignant. C'est pourquoi une sanction est nécessaire; confiscation de l'appareil pour une durée donnée. Avec une telle menace, seuls les plus obstinés se risqueront pendant que les autres, eux, veilleront à la maintenance de leurs notes.

    Ensuite, un problème majeur lié à l'utilisation des téléphones cellulaires durant les cours s'impose. La tricherie. Tout élève peut «texter» à un autre les réponses qu'il a choisies à l'évaluation de façon tout à fait subtile. Le second élève réussit donc à répondre à l'exercice sans avoir à étudier. Bien sûr que ce ne sont pas la totalité ou la majorité qui font une telle chose tout comme ce ne sont pas tous les propriétaires d'une hache qui s'en servent pour détruire au lieu de construire. Ça peut être tout autant une arme qu'un outil.


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  •      La technologie en matière de communication se perfectionne et devient toujours plus accessible. Nous le savons tous; il est impossible de l'ignorer. Par sa simplicité, il nous est facile de l'amener avec nous où que l'on aille. C'est alors que des restrictions sont établies et que les utilisateurs questionnent leur nécessité. Les restrictions sur l'utilisation du téléphone cellulaire à l'école sont nécessaires. Car, sans quoi, qui empêchera les élèves de composer des messages textes de masse au lieu de leur introduction au texte argumentatif? La réussite scolaire de ces gens reposerait sur leur simple hûmeur. Ce règlement est vital au succès académique des adolescents. 


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